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Quelques récitals et "théâtre et musique"

Bruxelles, 9 mars 2012, récital 2 pianos

Voinsles, 19 juin 2011 piano seul et 4 mains sur le thème de la danse

Voinsles, 20 juin 2010 piano seul et 4 mains  sur le thème des animaux et des jardins

Festival d'Avignon 2010 "Il faut être absolument moderne" au théâtre du Verbe Fou avec Fabien Franchitti

Festival d'Avignon 2010 "Le cabaret de Brecht" au Verbe Fou avec la compagnie du Fil de l'araignée 

Glabais 22 novembre 2009, récital 4 mains et concert pour enfants avec "Casse Noisettes" de Tchaïkovsky

Glabais novembre 2008, concert pour enfants avec "Babar" de Francis Poulenc et "Le carnaval des animaux"

Cartagena 8 mai 2008 avec l'Orchestre de la Région de Murcia, Concert n°1 De Ludwig von Beethoven

Théâtre "Le poème", mai 2006, "Amadeo" avec Hamida Tachfine

Gand, récital piano été 2003

Récitals à Murcia, Jaén, Alicante, Madrid, Bruges, Anvers, Verrières le Buisson 

 

 

Revue de presse

 

.Hamida et Amadeo: amants 
(L.N.) 
Mis en ligne le 30/05/2006 
UN TRÉSOR INATTENDU DE L'ANNÉE MOZART... Depuis le triomphe, au Théâtre-Poème, des «Contes à rebours» dans lesquels Laurence Vielle et Hamida Tachfine avaient emmené un public fasciné, des murmures circulaient sous le manteau. Hamida comédienne (élève de Pierre Laroche au conservatoire de Bruxelles) mais aussi chanteuse, cantatrice, avait l'intention d'offrir à son public, ici même, un Mozart insolite. C'est fait! Voici «Amadeo».
Tout commence au rez-de-chaussée du T-P, où le public attend. Le couvercle d'un piano droit se soulève et de longs doigts minces entament le galop d'«alla turca». La pianiste avignonnaise-bruxelloise Eve Béroux n'a pas encore enlevé sa veste. Elle veut tout juste dire que le spectacle va commencer. Mozart attend là-haut, sur le plateau, avec son amante belgo-marocaine Hamida Tachfine. C'est à 19 ans qu'elle l'avait rencontré, au pied du mont Blanc, en écoutant son «Requiem». Elle ne l'avait plus quitté. Maintenant, à 35 ans, l'âge qu'il avait quand il est mort, c'est Hamida qui lui redonne chaleur.
Sur la scène, cette fois au piano à queue, la lumière de Mozart crépite sous les doigts d'Eve Béroux, et accompagnera, ou prolongera, tous les visages de l'amour, de la découverte à la désillusion, de la passion à la séparation, du désespoir à l'éblouissement: seul mot qui convienne en écoutant la voix de soprano dramatique avec laquelle Hamida ouvre toutes les portes à «son» Mozart. Avec vues sur des extraits d'opéra, des lieder, un passage de messe: l'intérieure transhumance d'une vie qui traverse des pays de chair et d'âme. Hamida parle aussi, raconte, lit une lettre, y met le feu, s'interroge. Comme une confidence continue entre elle et vous. Avec un humour et un génie qui lui font paraphraser une leçon de chant, ou s'emparer de la cithare et s'engager soudain dans les sortilèges de la langue arabe, ou aborder un lied de Clara Schumann sans que soit jamais rompue l'unité du parcours. Même quand un bout du «Vertigo» de Hitchcock apparaît sur écran. Laurence Vielle a tout compris, écrit ce qui relie et mis en espace. Avec un éclairage du sens par la germaniste Christiane Gleis.
Bruxelles, Théâtre-Poème, jusqu'au 3 juin. Tél.: 02.538.63.58
© La Libre Belgique 2006

 

 

 

 

 

 

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